"content":"<div alt=\"li\">Édition <a href=\"https://blogs.mediapart.fr/edition/camedia-0\">CAMédia</a>\n<h3 class=\"title\"><a href=\"https://blogs.mediapart.fr/edition/camedia/article/180116/deux-nouvelles-editions-pour-debattre-dans-le-club-sur-la-laicite-et-sur-la-democratie\">Deux nouvelles éditions pour débattre dans le club sur la laïcité et sur la démocratie</a></h3>\n<p>18 janv. 2016 | Par </p>\n<p>CAMédia après un échange sur «l'éthique du débat» a lancé deux discussions , l'une sur le thème de la laïcité, l'autre ( encore en cours) sur celui de la démocratie. Nous sommes heureux de pouvoir signaler la création de deux nouvelles éditions participatives sur ces thèmes. Nous vous invitons à les lire et à participer à leurs débats.</p>\n</div><div alt=\"li\">\n<h3 class=\"title\"><a href=\"https://blogs.mediapart.fr/lucile-longre/blog/170116/de-limportance-de-rever-eloge-du-merveilleux\">De l'importance de rêver, éloge du merveilleux</a></h3>\n<p>17 janv. 2016 | Par </p>\n<p>Je parlerai ici des rêves comme moteur de vie, de ces rêves qui vous rattachent et vous font espérer à ce qu’il y a de plus humain dans l’homme, même au milieu de la plus noire des détresses.</p>\n</div><div alt=\"li\">\n<h3 class=\"title\"><a href=\"https://blogs.mediapart.fr/barbara-romagnan/blog/180116/fins-dune-toute-puissance\">Fin(s) d'une toute-puissance</a></h3>\n<p>18 janv. 2016 | Par </p>\n<p>En ce début d’année, je recommande la lecture du dernier ouvrage de Guillaume Duval, La France ne sera jamais plus une grande puissance ? Tant mieux !</p>\n</div><div alt=\"li\">\n<h3 class=\"title\"><a href=\"https://blogs.mediapart.fr/jean-pierre-thibaudat/blog/170116/l-allier-departement-de-destruction-massive-du-tissu-culturel\">L’Allier, département de destruction massive du tissu culturel</a></h3>\n<p>18 janv. 2016 | Par </p>\n<p>Les temps sont durs pour les petites structures, les associations culturelles qui, de bourgades en villages, travaillent au cœur des régions. Leurs subventions sont souvent revues à la baisse. Le département de l’Allier les a carrément supprimées. Pour favoriser « l’événementiel ».</p>\n</div><div alt=\"li\">Édition <a href=\"https://blogs.mediapart.fr/edition/les-invites-de-mediapart\">Les invités de Mediapart</a>\n<h3 class=\"title\"><a href=\"https://blogs.mediapart.fr/edition/les-invites-de-mediapart/article/180116/la-democratie-deja-attaquee-par-la-cooperation-reglementaire-transatlantiqu\">La démocratie déjà attaquée par la coopération réglementaire transatlantique</a></h3>\n<p>18 janv. 2016 | Par </p>\n<p>Lora Verheecke et David Lundy travaillent pour Corporate Europe Observatory, une ONG basée à Bruxelles qui enquête sur le pouvoir des lobbies des grandes entreprises sur la politique de l’Union européenne. Ils révèlent que depuis 25 ans le projet de « coopération réglementaire » mené par l’Union européenne et les États-Unis a été dominé par les grandes entreprises. ET que le TTIP cherche à entériner ce projet.</p>\n</div><div alt=\"li\">\n<h3 class=\"title\"><a href=\"https://blogs.mediapart.fr/jacqueline-derens/blog/180116/2016-une-annee-test-pour-jacob-zuma-et-son-gouvernement\">2016, une année test pour Jacob Zuma et son gouvernement</a></h3>\n<p>18 janv. 2016 | Par </p>\n<p>Les turbulences de l’an passé ont toutes les chances de continuer à troubler le climat politique et social de l’Afrique du Sud en 2016. La situation exige des changements profonds dans la conduite des affaires du pays. Jacob Zuma tout en admettant la nécessité de ces changements, est-il l’homme de la situation ? Son gouvernement répondra-t-il aux attentes des citoyens sud-africains ?</p>\n</div><div alt=\"li\">\n<h3 class=\"title\"><a href=\"https://blogs.mediapart.fr/marie-cosnay/blog/140116/un-mal-fou-janvier-2016\">Unmalfou(janvier2016)</a></h3>\n<p>14janv.2016|Par</p>\n<p>J’aiunefringaled’aventure,d’aventuresàvenir.J’ailafringaledelafringaledesaventuresetsoudain,rupture.Jen’ya
"content":"<p class=\"c2\"><strong>La Corée du Sud vibre en ce moment à la lecture d’une information qui pend aux nez des Français. Une entreprise privée a récupéré 90% des dossiers médicaux des habitants du pays du matin calme au soleil levant pour les revendre.</strong></p>\n<p>Une entreprise spécialisée dans le développement de logiciels en charge de gérer les frais médicaux, programmes utilisés dans les hôpitaux et la Korean Pharmaceutical Information Center, a offert il y a quelques mois ses logiciels de gestion d’officines. Plus de la moitié des pharmacies du pays ont utilisé l’outil. Sauf que <a href=\"http://www.koreaherald.com/view.php?ud=20150726000368\" target=\"_blank\">les données sauvegardées ont été revendues</a> à IMS Health Korea. Cette entreprise, dont le siège social est basé aux USA, a ensuite commercialisé, illégalement, les données à d’autres sociétés en Corée.</p>\n<p>La loi 2011 sur le droit de la protection des renseignements personnels interdit l’utilisation des renseignements personnels et des renseignements médicaux sans le consentement des patients. Le Pharmaceutical Information Center est actuellement jugé pour cette collecte illégale, qui date de 2013, et la distribution des informations médicales de 90% des Coréens.</p>\n<blockquote readability=\"4\">\n<p><strong>Un cas qui pourrait toucher la France ?</strong></p>\n</blockquote>\n<p class=\"c2\">Depuis février 2015, l’ouverture des données de santé dans l’hexagone a été décidée par le législateur. L’assurance-maladie a annoncé qu’elle proposait, en accès libre, sa base de données « <em>Damir</em> » sur le site data.gouv.fr. Un big data de la santé qui regroupe les informations issues de 1,2 milliard de feuilles de soins, de 500 millions d’actes médicaux et de 11 millions d’hospitalisations. Ce big data ne propose pas les identités (pas de nom, de numéro de sécurité sociale, …), uniquement des millions de chiffres et de données de santé. Cette faramineuse base de données, qui double de volume chaque année, permet d’extraire, par exemple, des statistiques liées à la santé dans les régions. <a href=\"http://www.assemblee-nationale.fr/14/amendements/2302/CION-SOC/AS1387.pdf\" target=\"_blank\">L’article 47 de loi</a> permet aux acteurs privés d’accéder aux données de la CNAMTS. C’est l’Institut national des données de santé (<a href=\"http://www.institut-des-donnees-de-sante.fr/\" target=\"_blank\">INDS</a>) qui a en charge de répondre aux demandes du « privé » pour accéder aux données plus ciblées (et payantes).</p>\n",
"content":"<div class=\"container\" readability=\"38\"> \n<div class=\"row main col-sm-10 col-sm-offset-1 col-md-offset-2 col-md-8 article-body\" readability=\"41\">\n<p>Sept. 18, 2015, 6 a.m.</p>\n </div>\n</div>\n<div class=\"wrapper container row bento-layout col-sm-12 col-sm-offset-0 col-md-10 col-md-offset-1 image\" readability=\"37\"><img src=\"https://www.nationaljournal.com/media/media/2015/09/17/06Julian-Assange.jpg\"/><p>Julian Assange in a 2012 portrait by Jacob Appelbaum. Jacob Appelbaum</p>\n</div>\n<div class=\"wrapper bg-img light container row bento-layout col-sm-10 col-sm-offset-1 col-md-8 col-md-offset-2 article-body c3\" readability=\"116\">\n<p>But today, the loquacious Appelbaum wants to just talk about his art. Mostly.</p>\n<p>The photographer has assembled intimate portraits of his authority-challenging comrades—Poitras, Harrison, Weiwei, Wikileaks cofounder Julian Assange, Snowden-favored journalist Glenn Greenwald, and former NSA analyst-turned-whistleblower William Binney—each bathed in an infrared glow. The technique, which results in an unmistakable resemblance to surveillance footage, was accomplished using cibachrome prints and shooting with a discontinued Kodak Color Infrared camera—a process Appelbaum likes to boast is “fully analog.”</p>\n<p>“A key part about this is the process and the film itself—it is a surveillance film,” Appelbaum tells me. “That said, I am partial to the color red. I really like it. and I think that it signifies passion, and I think that passion is something that all the people in the show share.”</p>\n<p>Appelbaum also likes black. He wears a gray button-up, black jeans, black shoes, a black belt, and a conspicuous black tie during our interview. His trademark thick horn-rimmed glasses—also black—rest easily on his face, doing little to mask the darting intensity in eyes. A metal bar punctures two holes into the upper cartilage of his right ear. Even forced to dress up, he has the unmistakable look of a cyberpunk.</p>\n<p>His art show, which opened Sept. 11 and runs until Halloween, is titled <em>Samizdata: Evidence of Conspiracy</em>, after a Russian word referring to the dodging of censors to share illicit material within the Soviet bloc—think Aleksandr Solzhenitsyn’s <em>The Gulag Archipelago</em>. It is hosted at the NOME Gallery, which opened earlier this year and has a strong bend for anti-authoritarian—and, some might say, anti-American—social commentary. NOME’s previous two exhibits, Paolo Cirio’s <a href=\"http://www.nomeproject.com/news/nome-presents-overexposed-paolo-cirio\"><em>Overexposed</em></a> and James Bridle’s <a href=\"http://www.nomeproject.com/exhibitions/glomar-response\"><em>TheGlomarResponse</em></a>,bothtookcriticalaimattheU.S.intelligencecommunity,offeringunflinchingexaminationsofseniorofficialslikeCIADirectorJohnBrennanandFBIDirectorJamesComey,andofthelevelofredactionspresentintheSenateIntelligenceCommittee’slandmarktorturereport.</p>\n<p>ForAppelbaum,though,hisartworkdevelopedorganically.Allofthephotosweretakenbeforetheconceptofagallerymaterialized,exceptforashotofHarrison,theBritishWikileaker.Harrison’sportrait,whichfindshersittingonarockand,headcockedabit,lookingsoftlyintothecamera,alsohappenstobeAppelbaum’sfavorite,becauseitbalancesherqualitiesasboth“atotalbadassmotherfucker”and“thepixieofWikileaks.”</p>\n<p>Thephotographs“showthepeopleinthewaythatIthinkofthem,”Appelbaumexplains.Themoststrikingdemonstrationofthat